Marcel Proust, página 8 de 29

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En 1971, la Pléiade publiait « Contre Sainte-Beuve » précédé de « Pastiches et mélanges » et suivi de « Essais et articles ». L'édition qui paraît aujourd'hui est dotée d'un sommaire cons

Es el prefacio que Proust escribió para su traducción de Sésamo y lirios de John Ruskin. Este texto, apareció originariamente en la revista La reinassance latine (1905) y al año siguiente acompañando a la citada traduccion. Finalmente Proust la incluiria, con el titulo de Jornadas de lectura y algunos pequeños retoques, en su obra Pastiches et melanges (1919). Considerado como uno de los textos mas bellos de Proust, Sobre la lectura contiene sus particulares puntos de vista sobre el lugar que deben ocupar los libros en la actividad creadora, y su papel limitado, pero insustituible, en la vida. Proust se propone demostrar que la manera en que los libros entran en comunicacion con sus lectores va a determinar, mediante el ejercicio de la disciplina del pensamiento, su busqueda de la verdad para alumbrar finalmente el conocimiento de uno mismo. Texto que preludia ya el estilo de En busca del tiempo perdido y contiene en germen todo lo esencial de su teoria estetica.

A la Belle Epoque, le salon bourgeois parisien des Verdurin quai Conti est fréquenté par le docteur Cottard, Odette de Crécy et Charles Swann. Ce dernier suscite d'abord la curiosité puis le dédain de ce milieu. Une peinture satirique de la jalousie et du snobisme. Deuxième partie de Du côté de chez Swann.

Être préfacé par Marcel Proust (1871-1922), c'est s'exposer a « la douche écossaise de ses flatteries et de ses mots cinglants ». Jacques-Émile Blanche se remit d'ailleurs mal de celle que son ami consentit a ses Propos de peintre. Car son souci n'est pas tant de présenter un ouvrage que de s'en nourrir, voire de l'enrichir. Que vaudrait un livre dont le lecteur ne pourrait s'affranchir ? En vérité, c'est toujours plus ou moins lui-même que regardent les préfaces de Proust. Traducteur de John Ruskin, qui eut tant d'influence sur lui, il ne craint pas de le contredire dans les présentations qu'il en donne. Quant a Paul Morand, il n'oubliera pas les cuisantes « remarques sur le style » déposées par son aîné au seuil de Tendres Stocks. C'est que les devoirs de l'amitié n'excluent jamais pour lui les exigences de l'art. Chacune des préfaces de Proust forme ainsi une oeuvre en soi, où s'élaborent les grandes idées de la Recherche. « Sur la lecture » en est comme le préambule - et compte parmi les plus belles pages de l'auteur. Ici rassemblés pour la première fois, ces cinq préliminaires donnent a lire le moins snob, le plus honnête - et parfois le plus drôle - des écrivains de son temps.

Ultimo volume della Recherche pubblicato da Proust in vita, tra maggio 1921 e aprile 1922, Sodoma e Gomorra e il libro piu costruito e al tempo stesso libero, arioso e inventivo dell'opera, il piu ricco in fatti psicologici e romanzeschi secondo lo stesso autore. A primeggiare e la figura di Charlus, una delle piu grandi creazioni dell'universo proustiano, insieme al personaggio di Albertine, entrambi protagonisti di episodi erotici a sfondo omosessuale. Ma Sodoma contiene anche uno dei momenti piu alti, vibranti e commoventi della Recherche: la scoperta, da parte del Narratore, delle celebri "intermittenze del cuore".

A Penguin Classics Deluxe Edition, with flaps and deckle-edged paperCarol Clarks acclaimed translation of The Prisoner introduces a new generation of American readers to the literary riches of Marcel Proust. The fifth volume in Penguin Classics superb new edition of In Search of Lost Timethe first completely new translation of Prousts masterpiece since the 1920sbrings us a more comic and lucid prose than readers of English have previously been able to enjoy.The titular prisoner is Albertine, the tall, dark orphan with whom Marcel had fallen in love at the end of Sodom and Gomorrah (volume 4). Albertine has moved in with Marcel in his familys apartment in Paris, where the pair have a seemingly limitless supply of money and are chaperoned only by Marcels judgmental family servant, Françoise. Marcel, who worries obsessively about Albertines relationships with other women, grows more and more irrational in his attempts to control her, keeping her prisoner in his apartment and buying her couture gowns, furs, and jewelry in an attempt to protect her from herself and from the outside world and. And yet in addition to being a tragedy of possessive love, The Prisoner is also a comedy of human folly and misunderstanding, linked to the other volumes of the larger novel through its themes of class differences, art, irrationality, social snobbery, and, of course, time and memory.