"Je n''ai pas voulu donner dans La fin de la nuit une suite à Thérèse Desqueyroux, mais le portrait d''une femme à son déclin, que j''avais peinte déjà du temps de sa jeunesse criminelle. Il n''est aucunement nécessaire d''avoir connu la première Thérèse pour s''intéresser à celle dont je raconte ici le dernier amour."