« - Vous ne savez pas ce qui est arrivé ? Tous les moteurs d'avions se sont arrêtés hier à la même heure, juste au moment où le courant flanchait partout. Tous ceux qui s'étaient mis en descente pour atterrir sur la terrasse sont tombés comme une grêle. Vous n'avez rien entendu, là-dessous ? Moi, dans mon petit appartement près du garage, c'est bien un miracle si je n'ai pas été aplati. Quand le bus de la ligne 2 est tombé, j'ai sauté au plafond comme une crêpe... Allez donc jeter un coup d'oeil dehors, vous verrez le beau travail ! »
Las revueltas estudiantiles de mayo de 1968 han quedado atrás. Desde todos los rincones del planeta, jóvenes de ambos sexos marchan hacia Katmandú, la ciudad de los dos mil templos al pie del Himalaya. Cada uno tiene sus razones, sus metas. Jane y Olivier han emprendido -cada uno por su lado y movidos por las profundas heridas sufridas en las relaciones con sus respectivos padres uno de los caminos de Katmandu.Escritor, periodista y critico, Rene Barjavel es autor de varias novelas de suspense, entre ellas El gran secreto y La noche de los tiempos, asi como de numerosas obras de ciencia ficcion.
L’Antarctique. À la tête d’une mission scientifique française, le Dr Simon fore la glace depuis ce qui semble être une éternité. Dans le grand désert blanc, il n’y a rien, juste le froid, le vent, le
LES GRANDS TEXTES DU XXe SIÈCLE
L’Antarctique. À la tête d’une mission scientifique française, le professeur Simon fore la glace depuis ce qui semble une éternité. Dans le grand désert blanc, il n’y
« - Vous ne savez pas ce qui est arrivé ? Tous les moteurs d'avions se sont arrêtés hier à la même heure, juste au moment où le courant flanchait partout. Tous ceux qui s'étaient mis en descente pour atterrir sur la terrasse sont tombés comme une grêle. Vous n'avez rien entendu, là-dessous ? Moi, dans mon petit appartement près du garage, c'est bien un miracle si je n'ai pas été aplati. Quand le bus de la ligne 2 est tombé, j'ai sauté au plafond comme une crêpe... Allez donc jeter un coup d'œil dehors, vous verrez le beau travail ! »